L’Incroyable Hurd

Passionné de bande dessinée,

de Culture Libre, de Peinture et de bien d’autres choses…
J’aime que l’on puisse copier/modifier une oeuvre et aussi y faire intervenir un-e ou plusieurs auteurs-trices.

Ici, interragissent des fragments d’oeuvres LAL.

Les textes de couleur fushia sont d’Antoine Moreau, ceux en vert des Bernardo et ceux en noir les miens.

Page 1 de la BD 'L'Incroyable Hurd'

n.o.i.r. & b/l/a/n/c et autres films

n.o.i.r. & b/l/a/n/c

Collaboration artistique imprévue avec Antoine Moreau et Daniel Martin-Borret, un montage qui réunit deux poèmes qui se répondent, dont l’un est lu par le spectateur et l’autre par le narrateur, à sens contraire. Un montage d’après le texte b-l-a-n-c de Antoine Moreau (à l’écran), lui-même écrit d’après le texte n.o.i.r. de Joseph Paris (lu par Daniel Martin Borret).

À voir ici: https://josephparis.fr/noir-blanc/

492

492, c’est le nombre de plans d’un film de voyage de huit minutes, muet.

À voir ici: https://horscine.org/film/492/

Asilah / Un spectacle inattendu.

Sur les toits d’Asilah, un jeu d’élevage de pigeons se joue entre voisins. Chaque éleveur doit essayer d’attirer les pigeons des autres afin de faire grandir sa volée. Pour cela on fait danser les oiseaux dans le ciel le soir en exécutant les plus cercles avec les plus beaux pigeons pour séduire ceux des autres groupes et les attirer dans le sien.

À voir ici: https://horscine.org/film/asilah/

Horizon

Une vidéo qui ébauche un monde suspendu, inerte, et pourtant plein de l’effervescence intérieure de chacun d’entre nous. Collaboration avec Daniel Martin-Borret.

À voir ici: https://horscine.org/film/horizon/

Varsovie

Documentaire expérimental, une dissociation texte-voix-image en lutte contre le creux des discours.

Alexandra Shevchenko

Varsovie, le 8 juin 2012, quatre activistes de FEMEN – trois ukrainiennes, une française – s’offrent un instant superbe en zone triste. Au stade, le premier match de l’Euro 2012 de football va commencer. Hommage servile au refoulement, des milliers de supporters viennent se défouler. Habillées des couleurs de la Pologne pour passer inaperçues, elles s’infiltrent dans la foule. Dans le temple du désœuvrement elles s’apprêtent à surgir d’une façon radicalement nouvelle et formidablement subversive.

À demi-nues, des slogans peints sur leurs corps, elles tirent à l’extincteur sur le monde autour d’elles et scandent des mots durs qu’il est doux d’entendre. Ils étaient dispersés dans la foule, en quelques secondes ils se sont rassemblés en une seule masse : pas moins de trente journalistes caméra au poing se bousculent devant elles. Les supporters ne sont pas en reste, ils les encerclent, les agressent, et envoient des ‘I will fuck you‘. En moins de deux minutes la police s’ajoute au désordre et plaque les activistes contre un mur, en moins de cinq elles sont emmenées dans un camion.

À voir ici: https://horscine.org/film/varsovie/

Mourir gracieusement

24h de cinéma tourné et diffusé en direct sur Youtube, puis distribué sous licence art-libre.

Un an avant la covid, cette expérience de cinéma en direct sur Youtube réalise par avance le paradoxe d’un confinement qui ne s’abrite pas des regards, tant les images vont servir à exposer l’espace privé aux yeux de tous.

À voir ici: https://josephparis.fr/mourir-gracieusement/

Agfachrome

Que sont nos amours devenues, disait la chanson…

La règle dit que pour connaître le tracé d’une droite il suffit de deux points. Hélas, les chemins que nous prenons dans nos vies n’obéissent absolument pas à cette loi. On a beau se tracer un solide destin, on est toujours loin d’imaginer la route qui s’ouvre à nous et ses multiples carrefours.

Agfachrome est la madeleine qui a déclenché le même processus que chez Proust, mais avec une intensité inattendue, une sorte de voyage spatio-temporel, certes très court, mais suffisant pour réaliser que les plus grandes forces d’attraction sont souvent déjouées par le temps et la route sur laquelle nous nous engageons est presque toujours insoupçonnée.

Le concours

bannière

Le concours vise à partager un outil ayant été imaginé dans le but de mettre en exergue et de cartographier les relations d’entraide entre les individu·es d’une même communauté. Ce projet a été éprouvé dans le contexte d’une école d’art française en interviewant les étudiant·es s’apprêtant à passer leur diplôme de fin d’études, mais il est certain qu’il pourrait être transposé dans une myriade d’autres environnements (entreprises, établissements publics, etc.). N’hésitez pas à prendre contact avec nous via GitLab si vous souhaitez bénéficier de conseils pour l’adapter à vos propres besoins.

Lien vers le dépôt GitLab du projet

Néguentropie

Néguentropie

Néguentropie

Néguentropie est une installation artistique participative qui vise à utiliser le Numérique et la Data visualisation pour remettre l’humain au centre des usages. Elle propose de créer un espace de sensibilisation où science, philosophie et art s’agrègent dans une activité ludique, véritable expérience à vivre.

Accessibilité des outils, technologie ouverte.

Le “spectateur” n’est plus dans la position d’apprenant ni de consommateur d’outils numériques, mais bien dans celle du collaborateur qui fait advenir l’œuvre. Cette réflexion se décline concrètement par l’aménagement mobilier d’un espace propice à l’expérimentation à construire avec les participants puis, un atelier Paper Planet est proposé au public ( construction d’un globe terrestre projeté à partir de données numériques grâce au logiciel D3.js ). Une trace de l’expérience est conservée grâce au son, à la vidéo, à l’écrit via la plate-forme Do.doc en direct, le tout sous Licence Art-Libre.

Erwan BOZEC – Philippe Rivière – Luc Léger – Aline Perdereau, Néguentropie, 2020

Copyleft: cette œuvre est libre, vous pouvez la copier, la diffuser et la modifier selon les termes de la Licence Art Libre http://www.artlibre.org

Prochainement aux Human Tech.Days

Les 6 et 13 Mai 2022 à La Fabrique de Blois

Où je vais ?

De Tristan Duval – expérimental, documentaire – 107 min 13 – 2018 – Art libre et CC BY-SA

Voir le film

Synopsis

« Je ne sais pas où je vais, mais doucement j’ai besoin d’avancer. » Cette phrase résonnait dans ma tête quand l’année 2016 a commencé. Elle était toujours là quand l’année s’est terminée. Entre les deux, des rencontres, des départs, des discussions, des errements, des luttes, des découvertes, de la joie, de la tristesse, de la colère, des retours, des questionnements, de l’amour. Entre les deux, il y a eu de la vie, beaucoup de vie.

Fiche technique

  • Réalisation : Tristan Duval
  • Images et sons : Tristan, Laura, Alexis, RKO, Camille
  • Montage, tentatives d’étalonnage et de mixage : Tristan Duval avec KDEnlive, logiciel libre
  • Générique : Camille
  • Durée : 107 min 13
  • Année : 2018

Licence

Art libre et Creative Commons Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions (CC BY-SA)

Plus d’infos

http://tristetemps.tuxfamily.org/2018/06/20/ou-je-vais/

iReality and more

Etant né à la fin des “golden sixties”, mon adolescence s’est épanouie dans le milieu des années 80, où je fus submergé par un flot incessant de musiques pop électroniques. Cela est une part indéniable de mon héritage culturel !

iReality & more est à l’image du motard qui s’extasie sur les chromes étincelant des machines dont il rêve et part s’imprégner de kilomètres de bitumes. Ici, je fais de même sur les potentiomètres des divers filtres, enveloppes, VCA, VCO, … et parts sillonner mes mélodies imaginaires inspirées des “golden eighties”.

Oui, iReality & more n’est rien d’autres que des petites mélodies issues de mes parcours sonores avec ces machines qui me font rêver.

L’album complet au format flac et mp3

Framed by frames (2019)

Un ami d’enfance, Frédéric De Munter, m’avait sollicité pour une exposition de peintures composées de cadres où y seraient reliées des paires d’écouteurs. Des peintures offrant le son et l’image.

L’idée me séduit et ainsi sont nées 5 mélodies relatives à l’univers pictural de l’artiste. Malheureusement, le concept n’a pu voir le jour faute de moyen et de temps. Si ce n’est que j’avais animé le vernissage au piano. Tout n’a donc pas été perdu.

Les abiscules, en bonus, faisait également partie d’une exposition du même artiste. Le concept était composé de photographies exposées dans un jardin où elles se dégradaient au fil des jours, alors qu’était diffusée la lecture d’un texte de Françis Flament, dont j’avais réalisé l’habillage sonore et la musique titre.

Photo cover : Miriam Espacio from Pexel website

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