Le concours

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Le concours vise à partager un outil ayant été imaginé dans le but de mettre en exergue et de cartographier les relations d’entraide entre les individu·es d’une même communauté. Ce projet a été éprouvé dans le contexte d’une école d’art française en interviewant les étudiant·es s’apprêtant à passer leur diplôme de fin d’études, mais il est certain qu’il pourrait être transposé dans une myriade d’autres environnements (entreprises, établissements publics, etc.). N’hésitez pas à prendre contact avec nous via GitLab si vous souhaitez bénéficier de conseils pour l’adapter à vos propres besoins.

Lien vers le dépôt GitLab du projet

Néguentropie

Néguentropie

Néguentropie

Néguentropie est une installation artistique participative qui vise à utiliser le Numérique et la Data visualisation pour remettre l’humain au centre des usages. Elle propose de créer un espace de sensibilisation où science, philosophie et art s’agrègent dans une activité ludique, véritable expérience à vivre.

Accessibilité des outils, technologie ouverte.

Le “spectateur” n’est plus dans la position d’apprenant ni de consommateur d’outils numériques, mais bien dans celle du collaborateur qui fait advenir l’œuvre. Cette réflexion se décline concrètement par l’aménagement mobilier d’un espace propice à l’expérimentation à construire avec les participants puis, un atelier Paper Planet est proposé au public ( construction d’un globe terrestre projeté à partir de données numériques grâce au logiciel D3.js ). Une trace de l’expérience est conservée grâce au son, à la vidéo, à l’écrit via la plate-forme Do.doc en direct, le tout sous Licence Art-Libre.

Erwan BOZEC – Philippe Rivière – Luc Léger – Aline Perdereau, Néguentropie, 2020

Copyleft: cette œuvre est libre, vous pouvez la copier, la diffuser et la modifier selon les termes de la Licence Art Libre http://www.artlibre.org

Prochainement aux Human Tech.Days

Les 6 et 13 Mai 2022 à La Fabrique de Blois

Où je vais ?

De Tristan Duval – expérimental, documentaire – 107 min 13 – 2018 – Art libre et CC BY-SA

Voir le film

Synopsis

« Je ne sais pas où je vais, mais doucement j’ai besoin d’avancer. » Cette phrase résonnait dans ma tête quand l’année 2016 a commencé. Elle était toujours là quand l’année s’est terminée. Entre les deux, des rencontres, des départs, des discussions, des errements, des luttes, des découvertes, de la joie, de la tristesse, de la colère, des retours, des questionnements, de l’amour. Entre les deux, il y a eu de la vie, beaucoup de vie.

Fiche technique

  • Réalisation : Tristan Duval
  • Images et sons : Tristan, Laura, Alexis, RKO, Camille
  • Montage, tentatives d’étalonnage et de mixage : Tristan Duval avec KDEnlive, logiciel libre
  • Générique : Camille
  • Durée : 107 min 13
  • Année : 2018

Licence

Art libre et Creative Commons Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions (CC BY-SA)

Plus d’infos

http://tristetemps.tuxfamily.org/2018/06/20/ou-je-vais/

iReality and more

Etant né à la fin des « golden sixties », mon adolescence s’est épanouie dans le milieu des années 80, où je fus submergé par un flot incessant de musiques pop électroniques. Cela est une part indéniable de mon héritage culturel !

iReality & more est à l’image du motard qui s’extasie sur les chromes étincelant des machines dont il rêve et part s’imprégner de kilomètres de bitumes. Ici, je fais de même sur les potentiomètres des divers filtres, enveloppes, VCA, VCO, … et parts sillonner mes mélodies imaginaires inspirées des « golden eighties ».

Oui, iReality & more n’est rien d’autres que des petites mélodies issues de mes parcours sonores avec ces machines qui me font rêver.

L’album complet au format flac et mp3

Framed by frames (2019)

Un ami d’enfance, Frédéric De Munter, m’avait sollicité pour une exposition de peintures composées de cadres où y seraient reliées des paires d’écouteurs. Des peintures offrant le son et l’image.

L’idée me séduit et ainsi sont nées 5 mélodies relatives à l’univers pictural de l’artiste. Malheureusement, le concept n’a pu voir le jour faute de moyen et de temps. Si ce n’est que j’avais animé le vernissage au piano. Tout n’a donc pas été perdu.

Les abiscules, en bonus, faisait également partie d’une exposition du même artiste. Le concept était composé de photographies exposées dans un jardin où elles se dégradaient au fil des jours, alors qu’était diffusée la lecture d’un texte de Françis Flament, dont j’avais réalisé l’habillage sonore et la musique titre.

Photo cover : Miriam Espacio from Pexel website

Télécharger Framed by frames

Cities of tomorrow (2020)

L’idée est partie d’un dessin évoquant le monde de demain. Le tableau représentait la ville de Paris sous eau où la vie n’était plus possible qu’aux étages et sur les toits. Toutes les zingueries étaient recouvertes de mousse et ce qui restait des rues était des canaux recouverts de nénuphars. Face au défi climatique, cette image pourrait bien être une de ces villes du futur qui nous attend. D’où la question « Que seraient les villes de demain ? »

L’album est divisé en deux parties : Le pseudo présent (notre futur) et le passé (notre presque présent).

Le pseudo présent débute par des incantations en référence à ce que disait Malraux « Les XXIe siècle sera religieux où ne sera pas », ce qui face à la montée de l’intégrisme semble se confirmer. Puis il y a toujours ces machines et ces villes soit inondées ou en pleine sécheresse. La faune n’est plus ce qu’elle est, puisque des mécaniques ont remplacé le travail fourni par le règne animal. En bref, il s’agit de l’illustration musicale d’une « dystopie ».

La seconde partie est « Comment en sommes-nous arrivé là ?», évoquant les années 80 au point de vue de  l’insouciances et la confiance aux technologies.

Cover painting : Valérie Pierart

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La rupture (2019)

La rupture est souvent vue comme une interruption dans un processus, qu’il soit productif, chemin de vie ou de la vie amoureuse. Mais plus généralement, la rupture signifie aussi et surtout, un changement brutal dans cours de l’histoire, délimitant une frontière franche entre l’avant et l’après.

Ici, 9 années s’étaient écoulées depuis « Les adieux à Blâne-Est » où j’étais clairement moins productif. Ma vie prenait alors une certaine direction lorsque tout fut chamboulé par une série d’événements qui ont fortement remis en question une certaine pensée, une certaine perception. C’est ce que raconte cet « album » sous forme de mélodies au piano.

Cover photography by Miriam Espacio from Pexels – Artwork : テッテー テレッテー and her father

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